
S’il y a un dossier qui empoisonne l’unité nationale c’est bien celui du contentieux humanitaire non-résolu, issus des violations des droits de l’Homme durant les années 1990, appelé communément "passif humanitaire", dont la gravité est telle qu’il continue de miner la cohésion nationale et de fragiliser le tissu social, menaçant d’affecter la stabilité du pays.